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WAN © 2008

DOSSIER

    2008 թ,  Մայիս 1           Affaires Intérieures                            

Le crime de génocide, un anniversaire ou une fête religieuse,  célébré par des Arméniens

         Depuis plusieurs années maintenant et grâce au réseau Internet, nous avons la possibilité de nous informer sur les différentes cérémonies commémoratives qui peuvent avoir lieu à travers la France, l’Europe ou le Monde et je me pose une question comment, en sommes-nous arrivé là ?

 Et pourtant, nous le savons tous, des millions d’arméniens ont subi durant 29 ans, de 1894 à 1923, un plan d’extermination intentionnel jugé de génocide, le crime des crimes et reconnu par plusieurs Etats.

 Comment en sommes-nous arrivés à l’idée qui consisterait à célébrer « l’anniversaire d’un génocide », une idée qui rapidement, trop rapidement à mon goût, se diffuse sur les sites d’information, faut-il être complètement insensible, sans aucune mémoire de la souffrance de ceux qui ont subi ce crime, pour en célébrer ou fêter l’anniversaire.

 Approfondissons néanmoins la question, faut-il que les gens soient sadiques, machiavels,  ou complètement inconscients en se regroupant sous l’idée de célébrer l’anniversaire d’un crime, est–ce bien la véritable raison de ce regroupement ou bien ces mêmes gens se regroupent  en espérant commémorer le souvenir des victimes du crime en question et en faire un deuil national ?

 Les structures organisatrices de ces cérémonies, réfléchissent-elles un instant sur le fait, que le crime de génocide ne se célèbre pas, ne se fête pas ou ne se commémore pas.

 Les structures organisatrices en question se rendent-elles pas compte que célébrer ou commémorer l’anniversaire d’un génocide, reviendrait à commémorer l’anniversaire d’un plan d’extermination, est-ce bien cela qu’on attend d’une telle commémoration ?

 N’y a t'il donc plus de place aux victimes, n’y a t'il donc plus de place pour tous ces malheureux, seul compte le crime et son monument, par certains endroits le génocide a même son mémorial, devenant l’attraction principale, l’aimant qui attire les badauds ou la foule, pour venir y déposer une fleur,

 Et la question soulevée ne s’arrête pas à « l’anniversaire du crime de génocide », le crime de génocide serait identifié, il serait arménien, c’est à dire que les badauds célèbrent « l’anniversaire du génocide arménien », un génocide qui aurait pour caractéristique ou pour particularité d’être arménien, une façon ou une méthode arménienne pour exterminer les gens en quelque sorte.

 Que signifie donc de lutter contre le négationnisme, quand ces mêmes structures organisatrices ne font pas la différence entre la commémoration de l’anniversaire d’un crime de génocide et la commémoration en souvenir des victimes ?

 Que signifie donc de lutter contre le négationnisme, quand ces mêmes structures ne distinguent pas la différence entre « un génocide arménien » et le génocide des Arméniens » ?

Que signifie de lutter contre le négationnisme, quand ces mêmes structures dans un esprit, qu'on espère seulement immature et inconscient, transforme le génocide des Arméniens, terme juridique fondamental désignant un crime de masse et un crime contre l’humanité, en « arménocide », terme absolument non reconnu sur le plan juridique, et qui « pourrait » peut être désigner un crime sur un Arménien, comme peut l’être l’infanticide sur un enfant ?

 Et la confusion, ne s’arrête pas là, voici que d’autres idées apparaissent comme celle-ci  par exemple, qui prétend :

 « Qu’en dépit de cette solidarité qui les entourait, les Arméniens seront abandonnés à leur triste destin. »

 Et bien voilà, il fallait le dire que le destin des Arméniens consistait à se faire exterminer, il l’a dit.

 Est-ce qu’à un moment donné toutes ces structures ont pris conscience, que leur façon d’exprimer  leur sensibilité tant bien même qu'elle existerait encore, s’appelle en droit français, un outrage en direction du respect dû aux morts ?

 

    2008 թ,  Ապրիլ 24                           Témoignages              

Journée de Deuil National de la Nation Arménienne

 

        

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