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WAN © 2008

ՋԱՎԱԽՔ

   2008 թ,  սեպտեմբեր  7                    Protection civile                 

APPEL POUR L’UNION DES ARMENIENS

AU JAVAKHK

 L'explosion provoquée dans la nuit du 17 juillet prés de la maison du chef de la police d’Akhalkalak a eu pour conséquence le déploiement d’un nombre important de militaire des forces spéciales géorgiennes en Akhalkalak semant la violence et la terreur au Javakhk, suivit de descente de police sans aucune autorisation judiciaire, de façon illégale et violente, dans les maisons des Javakhktsis, démontrant l’attitude du pouvoir géorgien à l’égard des populations arméniennes au Javakhk.

 Le fait est que, jusqu’à ce jour au Javakhk, règne une atmosphère de peur et de terreur, et de nombreux Arméniens du Javakhk déclarent qu’en cas de persistance, la situation pourrait se transformer en révolte.

Nous devons simplement, prendre des mesures correctes pour sortir de cette situation gelée sans avoir honte devant les futures générations. L’ensemble de notre nation doit déterminer le sort du Javakhk et des Javakhktsis pour éviter de redevenir un Nakhidchevan.

 Nous devons regarder les choses dans leur réalité. De la question du Javakhk dépend aussi l’existence de notre nation, de notre patrie – de l’Arménie et de son Etat.. L’expulsion des Arméniens du Javakhk n’est pas seulement un des vieux rêves de la Géorgie mais aussi de la Turquie, détruisant l’Arménie et le peuple arménien. C’est cette idée barbare de la Turquie qui est mis en œuvre de ses mains par les autorités de la Géorgie.

  Qui a déclenché la guerre en Artsakh ? l’Azerbaïdjan en occupant l’Artsakh avait l’intention d’aller plus loin en prenant la région du Syunik pour s’unir avec le Nakhidchevan qui a une frontière avec la Turquie. Ceci aurait permit en un temps très court à renforcer économiquement et physiquement l’Azerbaïdjan, ce qui aurait eu des conséquences mortelles pour l’Arménie.

Mais cet odieux programme ne s’est pas réalisé, parce que tous les Arméniens ont su s’unir et protéger notre patrie l’Arménie. Je me rappelle des mots de Monté : « Si nous perdons l’Artsakh nous tournons la dernière page de l’Arménie.

 J’ai un profond respect pour ceux qui ont consacré leur vie, leur sang et un travail acharné pour empêcher la destruction de l’Arménie, et pour libérer notre Artsakh historique. Depuis ne pouvant rien faire en Artsakh, ils essayent maintenant au Javakhk.

  Aujourd’hui est venue l’heure ou nous devons mettre de côté les idéologies partisanes et les intérêts personnels et de rassembler nos forces pour lutter contre le nettoyage ethnique des Arméniens du Javakhk, qui est le seul objectif de l’ennemi pour y installer des Turcs, renforcant le blocus sur l’Arménie.

La Turquie, les Turcs Meskhets au Javakhk, la région de Marneuli et l’Azerbaïdjan, c’est un anneau qui comme un serpent se resserrant autour du coup de l’Arménie l’étranglera finalement.

Sinon pourquoi construire une voie ferrée Kars-Akhalkalkak, de dépenser des centaines de millions de dollars, plutôt que d’utiliser le chemin de fer passant par Gyumri ?

Sinon, pourquoi vouloir installer au Javakhk de 20 à 30 milles Turcs Meshkets ?

 La politique suivie par la Géorgie ne répond pas aux exigences de la Convention-cadre europérenne protégeant les minorités nationales, et de la Déclaration de l’Organisation des Nations Unies sur les Droits des Peuples Autochtones. Pour preuves, l’évolution de ces dernières années au Javakhk : opérations de provocation, d’arrestations illégales, de violences, de destructions des biens culturels (khatchkars, églises…), les attaques permanentes contre la langue arménienne, la réduction du nombre de cours de langue arménienne et de l’histoire de la nation arménienne, ainsi que d’autres actions similaires. Et c’est ce qui se passe non seulement au Javakhk, mais aussi sur l’ensemble du territoire de la Géorgie.

 Les Javakhktsis peuvent être patient, mais il y a des limites à tout, y compris à la patience.

 Gurgen Shirinyants

 WAN rappelle à ses lecteurs que Gurgen Shirinyants est toujours recherché par les forces spéciales géorgiennes, sa tête étant mise à prix et qu'il prend d'énormes risques en communiquant et en appelant les Arméniens à l'Union pour sauver le Djavakhk.

 

::DJAVAKHK:

 
 

 

 

 

 
 
 

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