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ԱՐԵՒՄՏԵԱՆ ՀԱՅԱՍՏԱՆ

    08 սեպտեմբեր  2012 թ,                                                Arménie Orientale

LA QUESTION DES PROTOCOLES A L'ORDRE DU JOUR

Tandis qu’en France apparaît dans les manuels scolaires d’histoire en classe de troisième une présentation outrancièrement minimisée du génocide du Peuple Arménien qui aurait pu faire l’objet d’une plainte devant la justice si la loi contre le négationnisme du génocide des Arméniens n’avait pas été rétoquée par le Conseil Constitutionnel, la déclaration de Mr Tigran SARKISSIAN, premier ministre, aux ambassadeurs accrédités auprès de l’OSCE engage l’Arménie Orientale à la reconnaissance d’une frontière avec la Turquie qui n’existe pas selon le droit international, puisque le Président W. Wilson a signé une Sentence Arbitrale le 22 novembre 1920, qui fait l'objet d'un acte juridique officiel, délimitant une frontière entre l'Arménie Occidentale et la Turquie.

http://www.panorama.am/ru/politics/2012/09/08/prime/

 Rappel des faits : Dans un geste historique, le président arménien Serge Sarkissian a invité le président turc Abdullah Gül à assister au match de qualification pour la Coupe du monde de football entre les équipes nationales des deux pays. Cette invitation survient alors que d’aucuns espèrent une percée dans les relations entre la Turquie et l’Arménie. Le Président Gül s’est bel et bien rendu en Arménie le 6 septembre 2008 pour assister au match.

 En fait, suite aux revendications officielles de Mr Arménag APRAHAMIAN Président du Conseil National d’Arménie Occidentale, des négociations secrètes avaient déjà commencé en 2007, entre la Turquie et l’Arménie Orientale avec la médiation du Département fédéral des affaires étrangères (DFAE) suisse, et une série de réunions avaient déjà eu lieu à Berne. L’enchaînement des contacts diplomatiques aboutit à la signature à Zurich de deux « protocoles », le 10 octobre 2009 ; le premier consacré à l’établissement de relations diplomatiques, le second à l’ouverture des frontières.

 Le processus n’allait pas tarder à échouer, dans la mesure où la partie turque s’apprêtait à faire une déclaration officielle dans laquelle elle liait les protocoles aux négociations sur le Haut-Karabagh. La délégation arménienne refusa alors de prendre part à la cérémonie. Finalement, il n’y eut pas de déclaration.

 Une grande partie des Arméniens d'Arménie Occidentale et de la diaspora arménienne, tous descendants de survivants du génocide, est frustrée par le fait que, Ankara continue à nier les faits et le règlement du contentieux . Alors que la négation du génocide reste une politique d’État en Turquie, on se demande comment une commission intergouvernementale pourra « étudier » les différences historiques entre les deux pays. En Turquie, tous ceux qui ont osé mentionner ces faits historiques ont été persécutés et emprisonnés.

En Arménie Orientale, la population est divisée : selon les sondages d’opinion, une légère majorité se dégage contre les protocoles. Mais seules quelques centaines de personnes se sont rassemblées dans les rues, pour la plupart des descendants de survivants (des groupes d’opposition ont appelé à manifester le 9 octobre). Depuis l’indépendance de l’Arménie, en 1991, il s’agit de la division politique la plus grave entre Erevan, l’Arménie Occidentale et la diaspora arménienne.

 Depuis ces protocoles n’ont pas fait l’objet d’une ratification par les deux États.

 Le gouvernement d’Arménie Orientale n’a aucune légitimité pour disposer des droits des Arméniens d’Arménie Occidentale contre leur gré et à leur détriment.

http://www.western-armenia.eu/news/Politique/2009/Le-Conseil-National-Armenien-et-les-Protocoles=280909.htm

La responsabilité des Arméniens d'Arménie Occidentale est directement engagée, c'est une question relative à la prise en charge de notre destinée et de nos droits avec notre consentement préalable, libre et éclairé.

Rubrique : Que dit l'histoire !

CORRESPONDANCE D’ORIENT - SEPTEMBRE 1918 - ARMÉNIE

La paix imposée aux Arméniens du Caucase à la suite de la reconnaissance par l'Allemagne et la Turquie, d'une république arménienne dans la province d'Ararat, une paix séparée avec la Turquie avait été imposée par les Allemands au Conseil national arménien de Tiflis.

Cette paix ne fut pas reconnue par l’armée arménienne du Caucase laquelle sous les ordres du général Antranik, le héros national arménien, continue la lutte contre les Turcs.

Or, le journal arménien Arev, qui se publie en Egypte, ayant, demandé à S. E. Boghos Nubar Pacha, président de la délégation arménienne  à Paris, s’il ne pensait pas que les colonies arméniennes de l’étranger devraient  solennellement protester contre cette paix séparée,

S. E. Nubar pacha adressa à notre confrère la dépêche suivante :

« Paris, 15 août. — Conditions imposées aux Arméniens- Caucase pour constitution république arménienne ne résout pas question arméno-turque qui doit rester ouverte jusqu'au Congrès de paix. Du reste ces conditions de même" que paix Brest-Litowsk étant -pas- reconnues par les Alliés ne constituent rien définitif.

Conséquemment considérons démarches auprès Délégation prématurées. Nubar. EGYPTE

 

http://www.western-armenia.eu/soutien.htm

Communiqué de presse du Conseil National d'Arménie Occidentale

08.09.2012

Western Armenia News

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